dimanche 27 mars 2011

Mirabelliers en fleurs

Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin


Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin

Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin

Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin

Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin

Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin

Fleurs-mirabellier, photo : Evariste Zephyrin

La floraison des pruniers et des mirabelliers, cette année a été particulièrement belle, mais aujourd’hui, leurs pétales  parsèment le sol, ils couvrent l’herbe verdissant…

E.Z

samedi 26 mars 2011

Conférence d'Emily Apter: Le "monde" de la Littérature-monde


Emily Apter est une philosophe américaine, professor of French and Comparative Literature à NYU. Elle est une importante théoricienne de la traduction, et a écrit notamment The Translation Zone: A New Comparative Literature (Princeton University Press, 2006), Continental Drift: From National Characters to Virtual Subjects (University of Chicago Press, 1999), Feminizing the Fetish: Psychoanalysis and Narrative Obsession in Turn-of-the-Century France (Cornell University Press, 1991).



Séminaire de l’Institut du Tout-Monde 2010-2011


La créolisation des pensées,imaginaires et écritures le mardi 29 mars de 19h à 20 h 30 au NYU Paris, 56 rue de Passy.


Partenariat entre l'Institut du Tout-Monde, l'Université de Paris 8
et l'Agence Universitaire de la Francophonie

La créolisation est un processus distinct du métissage. Elle dessine un schème de relation qui transforme les éléments réunis et les mobilise dans un devenir de l'échange. L'étude de ce phénomène culturel et linguistique doit s'exercer à l'écart d'une morale et d'un progressisme qui valorisent le mélange par principe. Observer puis comprendre ces dynamiques imprévisibles, souvent violentes, supposent une attention intellectuelle, visuelle et auditive aux figures de pensée et d'imaginaire telles que l'hétérogenèse, la greffe et la métamorphose.

Cette notion de créolisation a été initiée par Edouard Glissant. Elle a été développée sous d'autres noms et par d'autres théoriciens pour penser les identités postcoloniales (hybridation, liminalité, interstices…). À partir d'une écologie de la mondialité, elle permet de concevoir des modélisations pour la philosophie et les sciences du vivant. Elle inspire aussi des créations littéraires et artistiques aux dénominations encore incertaines (littérature-monde, baroques, art relationnel…). L'enjeu de ce seminaire sera d'interroger les extensions de la créolisation, sa pertinence descriptive et sa puissance manifestaire. 

vendredi 25 mars 2011

Expositions Rhode Makoumbou au Canada


Expositions "Afrique - Art témoin" à Montréal au Canada  
Rhode Bath-Schéba Makoumbou
Peintures et sculptures du Congo Brazzaville
  
1) Centre Communautaire et Culturel Chinois 
Du vendredi 15 au dimanche 17 avril 2011 de 11h à 19h  
1088, rue Clark, Montréal
Gala le samedi 16 avril à 21h
2) Galerie Crystal Racine
Du jeudi 21 au dimanche 24 avril 2011 de 13h à 20h (dimanche de 13h à 17h)
1701, rue Gilford (Angle de la rue Papineau sur le Plateau Mont-Royal), Montréal
  
Expositions organisées par l'association "Les Amis du Kongo & d'Ailleurs"
Mme Espérancia Tchiss-Loe-Pembeth
Tél :+1(450)647-3061 Fax :+1(450)468-0303





Rhode Bath-Schéba Makoumbou

Rhode Bath-Schéba Makoumbou est née le 29 août 1976 à Brazzaville en République du Congo.

Depuis sa tendre enfance, elle a été initiée à la peinture par son père, le peintre David Makoumbou. Elle s’est réellement engagée dans l’art à partir de 1989.

À travers ses œuvres, ce sont surtout les activités sociales de la femme africaine qui sont mises en valeur.
Dans les peintures à l’huile, elle peint généralement au couteau. La variété de ses toiles s’illustre dans un style nettement africain (à partir de l’art statuaire traditionnel), mais également influencé par les courants de l’art réaliste,
expressionniste et cubiste.

Depuis 2002, Rhode Makoumbou a créé de nombreuses sculptures en matière composée (sciure et colle à bois sur une structure métallique) représentant les métiers des villages qui tendent à disparaître. Certaines ont plus de trois mètres de haut !

Elle se considère un peu comme une artiste archiviste de la mémoire sociale et culturelle de l’Afrique en général, et du Congo en particulier. Elle s’exprime souvent dans ses interviews sur le respect des notions idéologiques de l’identité et de la diversité culturelle. Elle a toujours accordé une grande importance à la question du sens dans l’art et du rapport entre l’artiste et son public.

À partir de 2003, Rhode a entamé une importante carrière internationale, et expose maintenant dans le monde entier.

En six ans, elle a participé à 142 expositions collectives ou individuelles dans le monde, sans compter ses 19 participations dans son pays natal.

Elle a déjà présenté ses oeuvres au Congo Brazzaville, Gabon, France, Belgique, Niger, Cameroun, Etats-Unis, Côte d'Ivoire, Tanzanie, Allemagne, Sénégal, Maroc, Espagne, Suède, Luxembourg, Pays-Bas et Suisse.

Elle a un atelier à Bruxelles en Belgique, mais elle continue parallèlement à travailler à Brazzaville un ou deux mois par an.



Site de l'artiste : http://www.rhodemakoumbou.eu

jeudi 24 mars 2011

Hommage national à Aimé Césaire au Panthéon



Le 6 avril, le Président de la République rend hommage au poète et à l’homme politique Aimé Césaire (1913 - 2008) en dévoilant une plaque dédiée à sa mémoire et à son oeuvre au Panthéon à Paris.

Hommage au Panthéon. Nicolas Sarkozy rend hommage au poète et homme politique Aimé Césaire (1913 - 2008) en dévoilant une plaque dédiée à sa mémoire et à son oeuvre au Panthéon à Paris le 6 avril à 17h. A cette occasion, une inscription à la mémoire du grand écrivain et homme engagé de la Martinique sera dévoilée dans la crypte du Panthéon. L’entrée est libre du 7 au 10 avril.

Cette cérémonie a été convenue avec la famille d’Aimé Césaire lors d’un entretien avec le chef de l’État le 7 janvier dernier, en Martinique. Le décret décidant d’un hommage de la Nation à Aimé Césaire au Panthéon, signé par le président de la République, est paru au Journal officiel le 17 mars.

Aimé Césaire. Le poète, écrivain et homme politique Aimé Césaire est né en 1913 à Basse-Pointe, en Martinique, dans une famille de 6 enfants. En 1931, il part à Paris poursuivre ses études au Lycée Louis le Grand et est reçu trois ans plus tard à l’Ecole normale supérieure, où il crée la revue L’étudiant noir, qu’il anime avec Léopold Senghor. En 1936, il commence à rédiger le Cahier d’un Retour au Pays Natal. Marié à Suzanne Roussi, Aimé Césaire, agrégé de lettres, rentre en Martinique en 1939, pour enseigner, tout comme son épouse, au Lycée Schoelcher, où il a fait ses études. Le couple crée en 1941, alors que la Martinique vit sous le régime répressif de Vichy, la revue Tropiques, qui jouera un rôle majeur dans l’émergence littéraire, culturelle et politique des Antilles. L’année 1941 est également marquée par la rencontre décisive avec le peintre Wilfredo Lam et le poète André Breton. En 1944, Aimé et Suzanne Césaire séjournent 6 mois à Haïti. Ce voyage sera d’une grande importance tant pour la pensée et les écrits d’Aimé Césaire (Toussaint Louverture et Le Roi Christophe), que pour la communauté littéraire haïtienne.

En 1945, Aimé Césaire est élu maire de Fort-de-France, puis député de la Martinique. Il conservera son mandat de Député pendant 48 ans, et sera Maire de Fort-de-France pendant 56 ans En 1946, il est le rapporteur de la loi instaurant les quatre « vieilles colonies » de Guadeloupe, Guyane, Martinique et Réunion, en départements français. En 1947, il participe à la création de la revue : Présence Africaine, avec son fondateur Alioune Diop. En 1948, il participe de manière importante à la célébration du centenaire de l’abolition de l’esclavage. En 1955, Aimé Césaire rédige le Discours sur le colonialisme édité dans Présence Africaine. En 1956, avec la publication de sa Lettre à Maurice Thorez, il annonce sa démission du Parti Communiste et fonde en Martinique le Parti progressiste martiniquais (PPM).

Parallèlement à une activité politique continue, Aimé Césaire continue son œuvre littéraire et publie plusieurs recueils de poésie, toujours marqués du surréalisme (Soleil Cou Coupé en 1948, Corps perdu en 1950, Ferrements en 1960). A partir de 1956, il s’oriente vers le théâtre et publie après Et les chiens se taisaient en 1946, La tragédie du Roi Christophe en 1963, Une saison au Congo en 1966, et Une tempête en 1969.

Il meurt le 17 avril 2008, faisant l’objet de nombreux hommages. Conformément à son souhait, est gravé sur sa tombe le poème Calendrier lagunaire :


J’habite une blessure sacrée 
j’habite des ancêtres imaginaires 
j’habite un vouloir obscur 
j’habite un long silence j’habite une soif irrémédiable...


L’année des Outre-mer. Dans le cadre de 2011, année des Outre-mer, de nombreux événements rendent hommage au poète et homme politique Aimé Césaire.

En mars, après une mise à l’honneur dans le cadre du Printemps des poètes, Aimé Césaire fait l’objet d’une exposition aux Galeries nationales du Grand Palais à Paris. Célébrant le 70e anniversaire de la rencontre entre Aimé Césaire et Wilfredo Lam, l’exposition Aimé Césaire, Lam, Picasso … « Nous nous sommes trouvés » réunit des toiles et eaux fortes de Lam, des gravures de Picasso et des œuvres d’artistes ayant tissé des liens avec Césaire ou s’étant inspiré de ses écrits. Du 16 mars au 6 juin.

Du 1er mars au 9 avril, le Théâtre des déchargeurs à Paris présente « Une saison chez Césaire », montage théâtral autour de l’œuvre du poète, adaptée par Michèle Césaire et mise en scène par Rudy Silaire.

Du 22 au 28 août, festival « Un livre à la mer » à Collioure dans le Languedoc 
Roussillon rend hommage à l’œuvre d’Aimé Césaire.

En novembre, le Tarmac inaugure ses nouveaux locaux au Théâtre de l’Est Parisien avec La tempête, pièce de Césaire, en prélude d’un cycle de trois ans autour de l’œuvre théâtrale du poète.

Le même mois, la chorégraphe Karine Saporta propose un spectacle à partir de La Tempête de Shakespeare et La Tempête d’Aimé Césaire au MAC de Créteil.


Programme complet à consulter sur le site de l’Année des Outre-mer.

La mort

La mort comme ultime protestation.

Evariste Zephyrin

mardi 22 mars 2011

Hommage national au grand poète martiniquais Aimé Césaire au Panthéon


Un hommage de la Nation sera rendu au Panthéon au grand poète et homme politique martiniquais Aimé Césaire, décédé en 2008, et une inscription portant son nom sera scellée en ce lieu, indique un décret paru jeudi au Journal officiel. La cérémonie aura lieu le 6 avril, indique par ailleurs l'Elysée dans un communiqué.

En janvier, lors de la visite en Martinique de Nicolas Sarkozy, la présidence avait annoncé l'organisation de cet hommage national, au cours duquel une plaque à la mémoire de l'intellectuel et homme politique sera scellée au Panthéon, "marquant ainsi la reconnaissance de la France dans son ensemble".

"Cette cérémonie avait été convenue avec la famille d'Aimé Césaire lors d'un entretien avec le chef de l'Etat", précise encore l'Elysée.

Le corps d'Aimé Césaire restera, conformément à sa volonté, en Martinique, terre "qu'il a si bien incarnée pendant plus d'un demi-siècle", ajoutait le texte.

Chantre de la négritude et militant contre la colonisation, Aimé Césaire est mort le 17 avril 2008 à l'âge de 94 ans. Nicolas Sarkozy, qui avait entretenu des relations parfois délicates avec le poète martiniquais, avait présidé quatre jours plus tard ses obsèques nationales à Fort-de-France.

2011 est l'année des Outre-mer.

lundi 21 mars 2011

Le ramier perché dans le prunier

Ramier - photo Evariste Zephyrin



De nombreux ramiers dans les pruniers se sustentant des fleurs blanches de l'arbre en fleurissement printanier.


E-Z

Matin


Martinique
Route de la trace
Photographie : Christine Le Moigne-Simonis

Et cette solitude
sur elle-même nouée
qui ne se soucie plus
de l’écho qu’elle dénonce
esclave qui survit
dans le regard des dunes



©José Le Moigne
 Gif sur Yvette
 21 mars 2011

L'éternel printemps

Le printemps est exorable, chaque année il se ploie à nos prières  et  nous rend la lumière.

Evariste Zephyrin

dimanche 20 mars 2011

Printemps

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Printemps (homonymie).

Floraison des cerisiers au printemps à Kyōto.

Saisons sur Terre
Le printemps (du latin primus, premier, et tempus, temps, cette saison marquant traditionnellement le renouveau dans la nature) est l'une des quatre saisons des zones tempérées, précédant l'été et suivant l'hiver. Cette demi-saison correspond aux mois de marsavril et mai dans l'hémisphère nord.
Il se caractérise par un radoucissement du temps, la fonte des neiges, lebourgeonnement et la floraison des plantes, le réveil des animauxhibernants et le retour de certains animaux migrateurs.

Sommaire

Printemps astronomique

Du point de vue astronomique, dans l'hémisphère nord, le printemps s'étend du 7 février au 7 mai. Le 20 ou 21 mars (équinoxe de printemps) marque le milieu du printemps. Dans l'hémisphère sud, ce découpage correspond à la saison d'automne.

Printemps météorologique

Du point de vue météorologique, dans l'hémisphère nord, le printemps est une demi-saison se situant entre la saisonfroide et la saison chaude. Il comprend donc les mois de marsavril et mai. Dans l'hémisphère sud, ce découpage correspond à la saison d'automne.

Printemps calendaire

Dans le calendrier civil français, le printemps commence conventionnellement le 20 ou 21 mars, bien que cela ne corresponde ni au printemps astronomique, ni au printemps météorologique: en effet, le mois de mars dans son ensemble est en moyenne non seulement plus doux que les mois de décembrejanvier, et février, mais également, en règle générale, que celui de novembre, faisant de ce mois un mois typiquement printanier.
En Russie, le printemps débute le 1er mars, en conformité avec le printemps météorologique. En Australie et enNouvelle-Zélande, le début du printemps officiel est le 1er septembre, en accord avec le printemps météorologique de l'hémisphère sud.
Dans le calendrier iranien, le premier jour du printemps, norouz est resté le premier jour de l'année. La fête est célébrée par certaines communautés le 20 mars systématiquement, et par d'autres le jour de l'équinoxe vernal de l'hémisphère nord, qui a lieu le 2021 ou 22 mars.
Article détaillé : Calendrier iranien.
Dans ce calendrier luni-solaire, le printemps commence vers début février et se termine vers fin avril. La fête du printemps y coïncide avec le nouvel an : c'est le début des semences et d'une fête de deux semaines. Ce décalage d'un mois et demi environ par rapport à l'Europe continentale est dû au fait que les équinoxes et solstices se situent à mi-saison.
Article détaillé : Calendrier chinois.

Date de l'équinoxe

En 2010, l'équinoxe de printemps de l'hémisphère nord a lieu le 20 mars à 17h32 UTC. Elle aura toujours lieu un 20 mars jusqu'en 2044.
Articles détaillés : Calendrier grégorien et Calendrier solaire.

Le printemps dans les civilisations et les cultures

  • Asie
    • Qiu Chuji (丘處機) ou Chang Chun (長春 : « Printemps perpétuel ») est un moine taoïste de la province du Shandong(1148-1227)
    • Setsubun Setsubun (節分?) est une fête nationale japonaise qui célèbre l'arrivée du printemps selon l'anciencalendrier lunaire, fêtée de nos jours le 3 février.
    • Kigo (季語?) est un terme japonais signifiant « mot de saison ». Il existe toute une série de kigo pour évoquer leprintemps.
    • Le Shuntō (春闘?) (« lutte de printemps ») fait référence aux négociations entre syndicats et employeurs qui se déroulent au début du mois de mars au japon.

Le printemps et la nature


Sous les feuillus, avant que lesfeuilles des arbres ne captent la lumière du soleil, la strate herbacée connaît son optimum de développement
Le printemps est en zone tempérée la saison des giboulées. Il est caractérisé par une alternance de pluies et de journées ensoleillées, et de lafonte des neiges. Cette fonte survient plus rapidement en plaine qu'en montagne. Aussi il est fréquent que les habitations et les champs situés près des cours d'eau soient inondés durant la nouvelle saison en raison du sol gorgé d'eau. Aux États-Unis, en Nouvelle-Angleterre, le printemps est appelé «saison de la boue».
Selon la durée et la rigueur des hivers dans les différents pays tempérés, on assiste (de mi-mars à fin avril et même en mai dans les pays à hiver rigoureux comme au Canada) à un réveil de la nature. Les arbres, dépouillés de leurs feuilles au cours de l'automne, revivent sous l'effet des températures clémentes, des pluies fréquentes et du soleil un peu plus présent que durant la mauvaise saison. La sève descendue dans le tronc des arbres remonte, les bourgeons, restés fermés durant tout l'hiver, s'ouvrent et de nouvelles feuilles d'un vert tendre font leur apparition, grandissent et s'élargissent jusqu'à atteindre leur taille normale selon l'espèce. Elles garderont cette taille mais seront d'un vert plus foncé durant l'été. C'est le moment où les oiseaux migrateurs reviennent et où ceux qui hivernaient se réveillent.
Certains arbres fruitiers (pommierscerisiers...) signalent leur activité en premier lieu par l'apparition de fleurs (blanches, roses, mauves...), puis ces fleurs tombent ou sont emportées par le vent pour laisser place à de jeunes feuilles.
Les prairies et les champs sont souvent recouverts de fleurs et d'une herbe jeune et neuve, un plaisir pour le bétaillibéré de son régime au foin durant l'hiver.




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Le printemps dans les arts

Dans la Rome antique, la déesse Flore personnifiait le printemps. Cette vision poétique des choses fut remise en honneur à la Renaissance dans tous les domaines artistiques : en poésie, en peinture (la célèbre Allégorie du Printemps de Botticelli), en sculpture (bas-relief le Printemps de Bouchardon) et en musique (Le Printemps dans les Quatre Saisons de Vivaldi).




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Antonio Vivaldi (1678-1741)
Les Quatre Saisons : Le Printemps
John Harrison, violon
Allegro
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