Les bougies, les conserves, l'eau, en prévision du cyclone, serions-nous dans l'oeil, calme ou dans la violence des marges...
La lune, toujours belle quoique voilée, inquiète.
Et à la saison des cyclones, le soir, l'odeur entêtante du bay rum envahit les chambres, il faut frictionner les loupiots, de peur qu'ils ne prennent "frette".
L'inquiétude marque les visages, les grenouilles musiciennes se sont tues, la nuit se fait silence, dans l'attente des grands vents....
Nous sommes les enfants de la catastrophe, les cyclones ont façonné notre âme et nous ont fait grandir.
L'inquiétude marque les visages, les grenouilles musiciennes se sont tues, la nuit se fait silence, dans l'attente des grands vents....
Nous sommes les enfants de la catastrophe, les cyclones ont façonné notre âme et nous ont fait grandir.
Evariste Zephyrin
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