Dans les voies froides du bois Roi où les joies sans emploi cheminent sans entrave dans de grands chemins. Et le vent sous l’arbre charroie de belles odeurs, dont la rumeur de l’humeur soulève des rêves où sur la grève des mouettes adossées à l’océan réclament une trêve aux falaises. Assis sur la margelle du puits de l’oncle, je puise à la dénature de la terre le soufre de la vie, car le fou sur le trône à l’aune de sa tragédie, impatiente les grandes chaleurs de ce monde, à vouloir réduire la démesure des semblants du hasard à sa frénésie.
Tony Mardaye
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