De la pierre qui s’endort,
A l’odeur du pain qui monte du four,
De la grenouille qui chante dans le noir,
Et la nuit s'assoupit.
De l'aube qui s'offre à la rosée matineuse
Du merle qui chante dès le point du jour
Avant même, que ne bruissent les rumeurs des pas
Dès lors que le matin s’élève.
La vie déploie son soleil au zénith
La lumière explose dans le ciel
Midi croule sous la chaleur
Les ombres dansent dans les rues.
Les heures s'affolent, le ciel rougitLes ombres dansent dans les rues.
Il est temps que l'aurore s'invite au jour,
Quand le soleil s'en va chuter dans la merLa foule se presse, les gens se rapprochent.
Encore demain en rupture.
Evariste Zephyrin
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